Faire le pari du Festival d’Avignon est un temps fort pour une compagnie, qu’elle soit novice ou pas. Le but étant bien sûr de jouir d’une visibilité maximale.
La préparation de ce temps particulier est une mission à part entière et requiert une connaissance des réseaux nationaux et des pratiques à adopter.
Filigrane Fabrik met à disposition son expérience auprès des équipes.
Un accompagnement sur Avignon se construit bien en amont du festival, et comprend le travail de préparation (prise en main du projet, mailing et phoning), l’accueil sur place et le suivi des structures ayant vu le travail.
Angèle, onze ans, parisienne. Émile, même âge, québécois. À partir d’un exercice imposé par des maîtresses inspirées, ces deux-là créent une drôle de correspondance. L’océan qui les sépare n’endigue pas leur flot d’écrits. De cette relation épistolaire que la modernité rend immédiate, surgiront mille jeux et une découverte sensible de leurs univers réciproques. En ces temps étranges et suspendus qui nous ont fait éprouver les relations à distance, nos modes de communication ont certes évolué, changé, mais entrer en contact avec l’autre reste essentiel et nécessaire à notre survie.
C’est avant tout l’histoire d’une amitié qui est contée ici, écrite à quatre mains, magnifiée par une scénographie et des propositions de mise en scène sensibles et poétiques (images animées, univers sonore).
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Pris à partie dans un magasin parce qu’il a oublié sa carte de fidélité, un acteur de théâtre prend la fuite. Débute alors une longue pérégrination aussi comique que philosophique.
Entre road movie et fait divers, l’acteur fait surgir autour de son personnage en fuite, toutes les figures marquantes - et concernées - de la société (famille, médias, police, voisinage…) et l’on reste sans voix face à ce déferlement de réactions improbables ou, au contraire, bien trop prévisibles.
« Histoire de l’homme en case… d’aventure en aventure, de traque en traque, de pages en scène, suivez la course folle, surréaliste et tordante d’un comédien fugitif (...) Ce n’est pas du cinéma, mais un peu. C’est du théâtre, mais pas seulement… Une pépite. » Bénédicte Soula, Le Brigadier
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L’interview d’un clown par un non-clown, qui interroge la place de la poésie aujourd’hui et sa capacité de résistance. Rencontre insolite et décalée entre deux mondes, où le dialogue se noue et se dénoue, se détourne et se retrouve, se prend les pieds dans le tapis des mots et des choses, du sens et du sensible pour tisser la toile d’un improbable et chaotique voyage en duo à dos de poésie.
On en sort un peu plus légers et joyeux comme si notre regard sur le monde pouvait encore se déplacer.
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Reportages radiophoniques fidèlement retranscrits. Portraits de femmes de conditions sociales et de générations différentes, au parcours de vie souvent considéré à la marge. Ces femmes témoignent d’une liberté d’agir et de penser. Chacune a un rapport particulier à l’argent dans la volonté d’en acquérir par elles-mêmes et pour elles-mêmes. Ce n’est pas une apologie du délit sinon celle de la désobéissance, une rébellion à petite échelle face à la loi. L’humour dévoilé évite toute tentation de jugement moral et honore la poésie du langage parlé. À l’heure de la collation se joue un dialogue au micro entre deux comédiennes à tour de rôle journaliste et interviewée.
Un fil se tend entre le réel et la fiction.
« […] une pièce majeure dans la compréhension de notre époque, donnant à entendre des témoignages de femmes qui se livrent, sans les fantasmer, sans les idéaliser, sans les réduire à la case immuable d’héroïnes ou de criminelles. » YEGGMAG
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